« Quand les couleurs disparaissent »
Où sont passées les couleurs ?
Les gris-bleu de tes iris éclairant mon visage
l’immaculée lumière de ton sourire
les flamboyants pourpres inconditionnels
ton aura –
cet éclat disparu
lorsque ton souffle… –
ton amour en néons fluorescents
clignotant sur mes ombres floues
me manque
La vie se résume-t-elle à quelques lueurs pastel ?
Je n’aurais jamais cru les noirceurs
les voiles fades obscurcissant mon regard
les teintes qui se divisent
les camaïeux qui se rassemblent
si je ne les avais vus de mes propres yeux
remplacer les nuances qui me berçaient
annihiler la clarté
effacer les contours
ne laisser qu’un magma chromatique
derrière eux
semblants de coloris
volés à ma palette
au coucher de ton existence
Est-il possible que nos pupilles se voient offrir, dans un sursaut de chance, une infinitésimale seconde de vivacité avant d’être condamnées à l’insipidité à tout jamais ?
C’est très bien comme texte. On dirait de la poésie.
Je sens que je vais encore me faire modérer.
Ne serait-ce que pour tester…
Sublimation du
s
u
b
l
I
m
en vers éth ér é s. . .
Ceci n’est pas un commentaire mais un test des systèmes de notation.
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